Développement Personnel

Éveil de conscience ? Un petit virus, Une grande crise ?

Cet électrochoc est sanitaire, mais il est, probablement, salutaire aussi.

Depuis des siècles peut-être, nous voici confrontés à la plus profonde occasion de révolutionner notre vie et notre manière de penser le monde, et d’atteindre une nouvelle manière de vivre ce monde autrement.

En fait de se changer intérieurement…

Je le place au même niveau que la révolution française…

L’échafaud est malheureusement toujours présent pour les pauvres familles atteintes.

Bien au-delà de tout ce que nous avons vécu jusque-là, bien au-delà des guerres et des « crises » économiques ou autres remue-ménages politiques.

Si cette pandémie pouvait seulement devenir une pandémie psychique et spirituelle pour éveiller les consciences sur les vrais enjeux de l’humanité :

Respect des êtres humains et animaux, de la nature si généreuse, acquisition d’une nouvelle manière de penser, de sentir et d’agir.

Ne plus penser la vie humaine et la Terre que sur un plan économique.

Ne plus accepter une médecine qui se base sur des réalités économiques !

Ne plus accepter des comportements de gangsters de nos dirigeants, qui détourneraient  des masques destinés à d’autres pays, ou à des sociétés comme la Poste qui cacherait des millions de masques et ne protège pas ses employés !

Ne plus accepter que les décisions médicales soient prises par des personnes nommées pour défendre les intérêts financiers des laboratoires, mais par des responsables protégeant la santé d’un pays ! En concertation avec les médecins du terrain et les patients.

Ne plus accepter d’être dépendant de la Chine, entre autres, et de laisser au chômage des millions de nos concitoyens puisque le travail est fait là-bas.

On répète depuis des décennies que la nature est fragile, nous prenons conscience que nous nous rendons fragiles par nos erreurs de comportement envers elle.

Si un jour nous ne sommes plus là, à l’agresser, la modifier, la corrompre pour des motifs mercantiles et « rentables » la nature se débrouillera et se régénèrera sans cesse.

Nous sommes d’une fragilité infinie, et avons pris conscience de cette fragilité en quelques semaines, plus qu’en trois guerres mondiales et deux crises économiques internationales !

La vraie révolution doit être là : ce que nous venons de passer est à marquer d’une ou plusieurs pierres blanches dans l’histoire du Monde tout entier.

En France, nous avons su réagir, nous insurger, et aller jusqu’à décapiter les têtes … couronnées, croyant nous débarrasser des injustices sociales et autres privilèges, et fermer la porte à ce temps que l’on croyait à jamais révolu…

Les privilèges sont peu à peu revenus par la fenêtre !

C’est un autre « couronné » qui nous oblige à prendre conscience de ces erreurs inhumaines.

Le génie des trois « devises de la République » était un trésor dans l’après 1789, et a gagné l’humanité entière.

 

Il faudrait, quand sera venu l’après de cette actuelle crise mondiale, se répéter intérieurement et de manière méditative, en conscience, -et pas parce qu’on les a appris dans les livres d’histoire-, ces trois mots : 

  • Liberté, peut-être appliquer ce mot à une nouvelle manière de penser, bannissant la pensée collective et unique, mais aussi une autre approche de soi, une autre façon de SE penser.
  • Égalité, appliquée à la seule Loi valable : le fait de tenir compte de l’autre, de ne pas écraser l’autre parce qu’on est plus beau, plus fort, plus riche, plus blanc, plus intelligent. Réactiver la bienveillance. Soigner à égalité tous les humains.
  • Fraternité, non seulement envers ces fameux « autres », les humains, mais aussi envers la nature, les animaux, et les végétaux.
Comme le vingt et unième siècle doit « être spirituel ou ne pas être » -sous peine de voir l’humanité disparaître- il devra l’être aussi dans le maître mot qui sera respect.

 

De la vie, de la Terre, du prochain, de tout notre environnement, extérieur et intérieur.

  • Extérieur, il s’agit de la nature bien sûr,
  • Intérieur, en nous-mêmes, moralement et physiquement, de la qualité de ce que nous donnons à manger à nos corps et à nos âmes, par exemple dans le respect de notre manière de soigner, sans agression inutile, de soigner enfin nos rythmes !

 

Pour cela, il fallait faire l’expérience du temps… Et du confinement.

Nous avons redécouvert un trésor fabuleux inimaginable dans toutes les cavernes d’Ali Baba du monde : LE TEMPS !

Ce que l’on a appelé un « confinement » autrement appelé « enfermement » est l’occasion d’une prise de conscience de ce qu’est … la liberté, de cette nécessité, de temps à autre, de se confiner intérieurement, c’est-à-dire de véritablement méditer et prendre ce recul si nécessaire dans nos vies aux rythmes effrénés !

Être contraint par la peur actuelle à « prendre » du temps, à « rester chez soi », à ne plus courir après les sorties, occupations et agitations diverses, achats et course effrénée au travail…

Qui aurait pu prendre ce recul sans ce petit virus couronné lui aussi ?

N’est-il pas temps de profiter de ce coup de semonce pour appliquer cette idée géniale : 

  • La vie culturelle est régie par la liberté, la pensée doit être libre, la manière de manger et de se soigner également.
  • La vie économique est régie par la fraternité, les actions doivent se faire en respect de tous, et non en écrasant le plus faibles.
  •  La vie juridique par l’égalité dans la justesse des décisions, en toute indépendance…

Au même moment, les « grands » discutent entre eux pour, surtout, sauver l’économie, et réajuster le prix du … pétrole !

Et ensuite ?
Que restera-t-il de cette crise ?

Allons-nous encore tout oublier et faire comme s’il ne s’était rien passé ?

Ce n’est plus possible désormais : c’est la première fois que l’humanité vit cela.

Privilégions le devoir de mémoire de cette période de leçon pour notre monde. N’oublions jamais cette période !

Elle a effacé tout le reste :

Au fait avez-vous entendu depuis deux mois, parler des vies indécentes des personnes âgées, -certains patients me disent se chauffer au minimum durant l’hiver-, du remboursement de l’homéopathie, de l’aide aux plus démunis, des retraites ?

Non, on ne parle que de cette épidémie, ce qui est juste mais pas que…

 Surtout, à la fin de cette époque troublée, n’oublions rien de tout cela !

CC médecin homéopathe


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