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Immunité dopée et fatigue éloignée

Pensez à votre ange gardien : LA VITAMINE C !

Vous avez tendance à tomber malade sans arrêt ? Vous pensez dormir assez mais vous vous sentez toujours fatigué et votre bonne volonté ne fait pas le poids ? Vous cicatrisez très lentement ? Alors évidemment vous pensez vitamine C car vous savez qu’elle est absolument indispensable à toutes vos cellules et vous avez raison !

En plus de renforcer votre système immunitaire, une recharge efficace en vitamine C authentique neutralise les radicaux libres oxydants, minimise les allergies (les réactions chimiques de l’allergie créent une augmentation de radicaux libres, d’où l’utilité des anti-oxydants) et répare les dommages sur la peau, sur les articulations… Elle permet de retrouver moral et énergie, puisqu’une vitamine C bien « accompagnée » et bien assimilée soutient les glandes surrénales : en effet en période de stress physique ou émotionnel la production de cortisol baisse significativement. Une fois dans notre organisme, la vitamine C va permettre de produire les globules blancs essentiels au système immunitaire et de relancer les glandes surrénales productrices de cortisol, hormone qui permet notre adaptation aux stress physiques (blessures, activité physique) ou psychologiques. La vitamine C agira sur l’équilibre du système nerveux : les personnes qui consomment le plus de vitamine C ayant moins de risques de devenir dépressives.

La vitamine C, aussi appelée « acide ascorbique » est une vitamine hydrosoluble essentielle à notre métabolisme toute l’année et non pas seulement les mois d’hiver.

Certains aliments sont source de Vitamine C, tels que les oranges, les baies d’églantier… les kiwis, les poivrons ; nos ancêtres de la préhistoire parvenaient à en consommer entre 600mg et 1 gramme chaque jour, mais l’alimentation « d’aujourd’hui » – même bio – ne peut pas suffire à couvrir nos besoins journaliers.

N’ayant jamais été autant exposé aux radicaux libres qu’aujourd’hui, l’homme moderne a besoin plus que jamais de nutriments protecteurs ; de plus, la vitamine C n’est pas stockée dans l’organisme ; il est important de garantir un apport journalier suffisant à l’aide de compléments alimentaires, donc d’avoir le réflexe « Nutrimentation » (voir l’article « La Nutrimentation« ) pour enrichir votre assiette en ces « nutriments perdus » grâce à l’apport de super-aliments concentrés en nutriments authentiques, quantifiés et rendus accessibles aux enzymes digestives, mais entourés de leur matrice naturelle et de leurs co facteurs naturels d’absorption.

Devant l’offre pléthorique de produits à base de vitamine C, comment choisir celui qui rechargera efficacement vos cellules en cette précieuse vitamine C ? En effet on trouve le plus souvent des comprimés d’acérola contenant plus d’additifs que de vit. C, des vitamines C « liposomales » donc impliquant d’absorber des additifs technologiques cachés tel le polysorbate 80 etc qui n’ont rien à faire dans un organisme humain !

La vigilance s’impose quant aux ingrédients, leur authentique naturalité et à la galénique, aux excipients des comprimés et à la qualité des enveloppes de gélules (voir l’article « La qualité des gélules »).

Un bon produit doit donc pouvoir reproduire « l’effet matrice » de l’aliment contenant naturellement de la vitamine C (acide L-ascorbique « dextrogyre ») en son sein afin d’en apporter suffisamment à l’organisme qu’il faut recharger sans surcharger ses capacités d’absorption ; il doit également tenir compte de la physiologie digestive et de l’importance d’apporter en même temps à l’organisme les cofacteurs essentiels donc il risque fortement de manquer aujourd’hui pour bien métaboliser la vitamine dont on vise la recharge.

Le totum est supérieur, sur le plan thérapeutique, à la somme de ses composants.

En effet, les nutriments naturels sont en fait activés par d’autres nutriments (ici la vitamine « P » ou bio flavonoïdes, enzymes, Oligo-éléments trace….) faisant partie de la matrice de l’aliment, du végétal les apportant (ex : les vitamines B et le zinc naturellement concentrés dans le sarrasin bio germé donc « activé » (et aux lectines neutralisées), la matrice de la baie d’églantier – alias cynorrhodon – contenant naturellement la vitamine C authentique).

Parce que l’actif ne suffit pas à nos organismes profondément perturbés par l’époque.

En plus de la protection et la métabolisation des vitamines optimisées par les cofacteurs, la formule du complément nutritionnel doit associer en synergie intelligente différentes parties ciblées de végétaux complémentaires. Il est crucial d’insuffler au cœur de la formulation une dynamique, un modèle végétal de cohérence et d’unité du vivant pour cibler et rééquilibrer les systèmes physiologiques constitutifs de l’être humain.

Comment ?

… par le choix rigoureux de la partie de la plante qui est utilisée (racine, fleur, feuille, fruit).

Ainsi certains ingrédients créeront une meilleure synergie que d’autres avec la vitamine C naturelle.

La vitamine C provenant du cynorrhodon (églantier) est idéale car le cynorrhodon est naturellement riche en bio flavonoïdes, polyphénol naturels de la baie permettant une bonne répartition dans le « temps » de l’absorption de la vitamine C, et permet de plus de contribuer à la cicatrisation des blessures.

De même, l’association d’églantier concentré en vitamine C avec des Oligo-Pro-Anthocyanidines (OPC) de pin, du curcuma en totum et le fruit de « l’éternel » baobab permettra un impact holistique de ces précieux nutriments, agissant harmonieusement sur l’ensemble de l’organisme.

Visualisez la « force » tranquille insufflée à votre organisme par une telle synergie d’ingrédients avec votre vitamine C naturelle : la force tranquille du mythique baobab géant bien ancré en sa base dans sa terre nourricière, l’équilibre matérialisé par les racines (rhizome de curcuma), le tronc (OPC d’écorce de pin maritime), les fruits (de baobab et d’églantier concentrés en vitamines C) portés par ses branches.

Dans une telle association d’ingrédients on retrouve en détail :

  • La partie « racine » via la poudre de rhizome du curcuma, une épice possédant d’importantes propriétés antioxydantes qui potentialise celles de la vitamine C.
  • La partie tronc (correspondant au « corps » abritant les organes vitaux autres que le cerveau dans l’organisme humain), via l’écorce de pin maritime. Cet actif issu de la forêt contient des OPC, une famille de flavonoïdes actives autant en milieu aqueux qu’en milieu lipidique, qui piègent les radicaux libres destructeurs et recyclent les vitamines C et E. Les OPC ont une affinité particulière avec le collagène qui assure la régénération des tissus et leur procure une grande élasticité. Aussi les OPC ou « oligomères proanthocyanidines ou anthocyaniques », les polyphénols sont des flavonoïdes qui sont particulièrement présents dans l’écorce de pin, les pépins de raisin ; ils permettent à l’organisme d’économiser la vitamine C et de garantir l’efficacité du système antioxydant.
  • La partie « fruit » via le Baobab et églantier :
    • Baobab : surnommé arbre de longévité, sa pulpe contient une forte teneur en vitamine C, calcium, fibres prébiotiques et antioxydants. Il améliore l’absorption du fer et de l’acide ascorbique, régule le pH, le transit intestinal et est une source d’énergie.
    • Baie d’églantier (aussi appelé cynorrhodon) : Les baies de rosiers sauvages étant considérées, depuis des années, comme un excellent aliment de survie dans la mesure où elles restent accrochées tout l’hiver. Très riche en vitamine C, anthocyanines, flavonoïdes et caroténoïdes, le cynorrhodon favorise la cicatrisation des blessures, des eczémas en plus d’un effet anti-rides.

Incorporer des phospholipides est important afin de transporter plus efficacement la vitamine C là où elle est la plus efficace : au cœur des cellules.

Les têtes hydrophiles des phospholipides, constituants essentiels de toutes les membranes cellulaires, sont mises en contact avec la vitamine C de cynorrhodon hydrophile et leur queue lipophile permet le passage de l’ensemble dans la membrane intestinale et dans les membranes cellulaires en général. En conséquence, le liposome se forme naturellement sans l’ajout de polyvinyles ou polysorbates nocifs pour la santé – comme c’est le cas dans les vitamines liposomées.

A quelle dose ?

On ne devrait jamais dépasser 500mg par prise lorsqu’elle est administrée par voie orale, car son absorption est limitée par le système digestif. Bien répartir les doses le plus possible pour une meilleure absorption en fait, plus la dose ingérée en une même prise est « faible », plus elle est retenue par l’organisme ; lorsqu’elle est en partie recyclée par l’apport conjoint d’OPC, cela allonge le temps de présence dans l’organisme.

Il faut également savoir que la vitamine C a une structure moléculaire proche de celle du glucose, ils sont donc en concurrence pour pénétrer dans les cellules. Plus il y a de glucose dans le sang moins il sera facile à la Vitamine C de pénétrer dans les cellules et vice versa.

On peut prendre de 500 à 2000 mg par jour, selon le niveau de stress physique ou psychologique ressenti. En cas de rhume, prendre 2g par jour et plus dans les premières 24 heures et poursuivez jusqu’au retour de la forme.

Les sportifs et athlètes, les personnes dont le taux de graisses du sang est trop élevé, devront monter jusqu’à 1g (minimum 500 mg) de vitamine C journalière.

Ainsi à ces doses, la vitamine C n’engendrera pas d’effet secondaire, mais du bénéfice uniquement !


Références scientifiques :

  • Sophie Belin et coll. : Aniproliferative Effect of Ascorbic Acid Is Associated with the Inhibition of Genes Necessary to Cell Cycle Progession, PLoS One, février 2009 Ginter. Marginal vitamine C deficiency, lipid metabolism and atherogenesis, Adv Lipid res, 16: 167-220, 1978.
  • Rossnagel K, Roll S, Willich SN. [The clinical effectiveness of rosehip powder in participants with osteoarthritis. A systematic review.] MMW – Fortschritte der Medizin 2007; 149(11):51-56. [Article in German].
  • Chrubasik C, Duke RK, Chrubasik S. The evidence for clinical efficacy of rose hip and seed: a systematic review. Phytotherapy Research 2006; 20(1):1-3.
  • Rein E, Kharazmi A, Winther K. A herbal remedy, Hyben Vital (stand. Powder of a subspecies of Rosa canina fruits), reduces pain and improves general wellbeing in participants with osteoarthritis – a double-blind, placebo-controlled, randomised trial. Phytomedicine 2004; 11(5):383-91.
  • Warlhom O, Skaar S, Hedman E, Molmen HM, Eik L. The effects of a standardized herbal remedy made from a subtype of Rosa canina on participants with osteoarthritis: a double-blind, randomised, placebo-controlled clinical trial. Current Therapeutic Research 2003; 64:21-31.

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