Dimension Santé Physiologiques

Face aux virus, modulons notre immunité pour soutenir nos capacités d’auto-guérison… sans sur-stimuler à l’aveugle.

Afin de soutenir nos organismes exposés aux virus, nous avons à disposition l’essentiel : notre énergie qui doit rester positive, notre moral qui ne doit céder à la peur qui mine notre immunité .

Et là est l’enjeu justement : notre immunité qui reste notre alliée vitale qu’il faut soutenir via le mental et l’alimentation complétée intelligemment mais surtout naturellement des bons nutriments.                                                                                                                                                             

Ces nutriments sont effectivement de plus en plus absents de nos aliments alors qu’ils sont pourtant les garants du bon fonctionnement de nos cellules, de nos organes, de notre système de défense, de notre système d’auto guérison et d’auto régulation, aussi bien quant à la production de cellules immunitaires que quant au contrôle subtil de l’inflammation et de l’oxydation !

Ces cascades de réactions biochimiques sont en effet interdépendantes les unes des autres : la réponse immunitaire (reposant sur la production de cellules « lymphocytes, macrophages … » et de radicaux libres) ainsi que la sécrétion des messagers immunitaires -les cytokines (ou pro inflammatoires ou au contraire celles permettent de calmer l’embrasement du système) dépendent elles-mêmes du degré de stress oxydatif générant l’inflammation ; ce degré est normalement auto régulé par l’intelligence« pré programmée »  de l’organisme qui piochera dans la réserve en nutriments dont il dispose dans ses tissus, dans ses cellules ! Ces nutriments normalement apportés quotidiennement par l’alimentation si les aliments ingérés en sont suffisamment riches …

Le contrôle de l’inflammation est donc crucial une fois encore :

il en faut pour se défendre contre les virus et bactéries … (l’élévation de la température du corps est par exemple un des mécanismes vitaux en plus des radicaux libres oxydants) donc bloquer « artificiellement » l’inflammation en début de pathologie type infection virale dégrade la défense naturelle de l’organisme ( voir ibuprofène, paracétamol …), mais nous pouvons mourir d’un excès d’inflammation déclenchant un « orage de cytokines » pro-inflammatoires, une « tempête cytokinique » du fait d’une hyper activation du système immunitaire  que le programme interne de l’organisme ne parvient pas à réguler (par exemple quant à la cytokine IL6).

Notre organisme est aujourd’hui en état constant d’inflammation de « bas grade » du fait de notre style de vie (stress … ) et de nos carences alimentaires (mode de culture et de distribution des aliments) amplifiées par la pollution et le vieillissement du système digestif assimilant de moins en moins facilement les nutriments enfermés dans les structures des aliments (moindre sécrétion d’enzymes digestives permettant de libérer les nutriments).

 

Le virus n’est rien, le terrain est tout !

 

Entretenir la vitalité de notre « terrain » et l’équilibre acido basique tout autant que ses réserves en nutriments essentiels alimentant l’homéostasie est la priorité ; il nous faut donc d’autant plus dans le contexte actuel d’épidémie :

  • Réguler l’inflammation

… Aujourd’hui … mais pas seulement en ces temps de pandémie ! Car l’inflammation chronique augmente le risque de complications en cas d’infection ; il faudra le garder à l’esprit afin de ne pas être dans la « peur » lors de périodes d’épidémie, et afin de ne pas devoir agir dans l’urgence via « la grosse artillerie chimique dont dispose l’allopathie via ses traitements d’urgence. La médecine d’urgence (type chloroquine et antibiothérapie) est en effet indispensable pour sortir de situations dans lesquelles nous mènent nos faiblesses de « terrain », d’immunité – qu’elles soient dues à la génétique ou à des négligences répétées quant à notre hygiène de vie sur tous les plans (physique, énergétique, émotionnel, mental) donc nos choix alimentaires, notre gestion émotionnelle de la vie, nos croyances …

Pour que la régulation puisse se faire il faut rester sur des doses donc physiologiques de nutriments dont d’antioxydants : telle qu’une consommation ancestrale de fruits apportait par exemple. Ainsi le corps pourra utiliser les antioxydants naturels seulement lorsqu’il devra freiner l’oxydation c’est-à-dire après avoir détruit par oxydation les bactéries ou virus ; pas avant (ce que vous faites si vous absorbez un anti inflammatoire de synthèse bloquant la cascade naturelle de réactions biochimiques et les récepteurs cellulaires dès le moindre symptôme de fièvre – inflammation salutaire pour oxyder l’intrus). Le sommeil réparateur est bien sûr un élément essentiel, scientifiquement démontré pour maintenir nos défenses immunitaires au meilleur niveau (lié à la production de mélatonine) ; mais hélas des troubles du sommeil dus au confinement imposé et au stress majeur sont générés par l’évolution de l’épidémie  virale

  • Empêcher la réplication du virus en nous : le rôle du Zinc, mais pas seulement..

Il semble d’ailleurs que l’action du fameux traitement allopathique  « l’hydroxychloroquine » (aujourd’hui synthétisé en laboratoire mais dérivant à l’origine de la quinine provenant de l’écorce de l’arbre quinquina) porte sur, d’une part l’oxydation afin de « griller » 
le virus, mais également d’autre part sur
le nutriment essentiel qu’est le Zinc qu’elle fait entrer massivement dans la cellule pour bloquer la réplication virale (puisque c’est l’impact qu’a le zinc sur la réplication de l’ARN viral)…
La chloroquine est en effet un ionophore (substance qui perméabilise les membranes cellulaires vis-à-vis du passage des ions) pour le Zinc (mais pour le potassium aussi a priori et c’est donc ce qui explique peut-être son impact sur l’influx donc le rythme cardiaque ?) ; aussi l’actif anti viral serait le Zinc une fois celui-ci effectivement entré dans la cellule – et non pas s’il reste seulement dans le sang !

En effet, le système immunitaire humain est physiologiquement capable d’éradiquer des virus tels que le CoV-2 virus ou le COVID-19 s’il dispose des nutriments enclenchant les cascades physiologiques « préprogrammées » dans notre organisme ; d’où les guérisons spontanées.

 Ainsi, consommer plus de Zinc est une piste à ne pas négliger.

Encore faut-il qu’il soit absorbé effectivement par le système digestif, donc bien accompagné de ses cofacteurs,
et qu’il pénètre efficacement au cœur de la cellule – ainsi , nul besoin de dose « massive » qui a toujours une conséquence déséquilibrante ailleurs, comme tout excès de substance non vraiment naturelle
; la carence en Zinc est en fait largement répandue aujourd’hui car bien que les céréales et les aliments végétaux soient des sources de zinc, bon nombre d’entre eux contiennent des phytates, qui se lient au zinc et inhibent son absorption et les fruits de mer – dont les huitres – ne sont pas suffisamment consommés. Le sarrasin bio germé concentré en zinc et dans  lequel la phytase inhibitrice d’absorption du zinc est inactivée grâce au processus de germination est une solution naturelle saine et sûre .

Attention en effet au zinc de synthèse contaminé au cadmium et plein d’additifs technologiques n’ayant rien à faire dans l’organisme. Attention également aux doses de recharges qui doivent rester physiologiques puisque l’ingestion de zinc en prise excessivement élevée a des effets métaboliques indésirables contre productifs, tels qu’un dysfonctionnement immunitaire et une défense antioxydante altérée. De plus, l’ingestion de niveaux élevés de zinc diminue son absorption et son assimilation intestinales, ce qui pourrait paradoxalement réduire les niveaux de zinc circulants et tissulaires.

La chloroquine pourrait également agir sur un autre facteur clé de réplication virale : le « Ph », particulièrement celui de l’endosome de la cellule.                

Les endosomes sont des sous-compartiments de la cellule sur lesquels les vésicules d’endocytose s’accrochent et fusionnent pour relarguer leur contenu – les molécules qui étaient à la surface de la cellule et qui ont été internalisées à l’intérieur d’une vésicule d’endocytose. L’acidification de l’endosome qui doit être modifiée afin d’inhiber les étapes de la réplication virale.  

Le zinc est bien au cœur du problème

… car le Zinc régule tous les processus infectieux, dégénératifs,
inflammatoires mais influe aussi sur l’équilibre acide-base de nos cellules !

Or l’évolution des modes de vie modernes (stress, sédentarité, déséquilibres alimentaires …) a engendré une modification délétère de l’équilibre du « Ph » de l’organisme, ce qui participe largement à l’explosion des maladies chroniques « de civilisation ».

Pour compenser l’acidité générée par de mauvaises habitudes le corps puise sur ses réserves minérales basiques, il se déminéralise et devient plus sensible encore, le cercle vicieux de l’acidose chronique s’installe inévitablement : frilosité, vulnérabilité, allergies et intolérances de toutes sortes, inflammations, dévitalisation, épuisement nerveux, glandulaire, immunitaire …

Il faut savoir que le zinc influe sur la perte du goût et de l’odorat, la réplication cellulaire et virale mais aussi sur les incidences de diarrhées et d’infections pulmonaires, de malaria – tous ces symptômes évoqués dans le cadre du Covid 19 ; on peut même se demander si l’actif contre la malaria ne serait donc pas « simplement » le zinc et non pas l’hydroxy chloroquine – celle-ci servant « juste » à une meilleure entrée ou utilisation du zinc dans la cellule ?

 Il est crucial de maintenir un bon statut en Zinc et de lui permettre de pénétrer dans la cellule.

 

Bien sûr c’est du « terrain » tout entier dont il faut logiquement s’occuper via l’apport d’aliments optimisés par la démarche de Nutrimentation®.

 

 

 

Il faut donc veiller à soutenir la production de globules blancs défenseurs dans l’organisme mais sans sur -stimuler « aveuglement » du fait de la part d’ombre subsistant autour du comportement précis de ce virus. Moduler la production des cellules immunitaires est la bonne attitude pour agir sans nuire par ailleurs, d’où la double importance du Reishi rouge, plante adaptogène de longévité  ; les principaux composants actifs du reishi sont donc les polysaccharides (dont les beta glucanesβ1-­‐3 et β1-­‐6 associées à l’effet immunomodulateur) qui “excitent” les cellules immunocompétentes de l’intestin par action sur les plaques de Peyer de l’intestin, induisant la prolifération des macrophages et en accroissant la production de cytokines bénéfiques.

En réduisant spécifiquement l’expression des tnf-­‐alpha les polysaccharides de Reishi vont agir comme des anti­‐inflammatoires sans affaiblir l’immunité par ailleurs (donc lutte contre les infections type tuberculose déclenchées par les anti Tnf alpha ou suppresseurs d’immunité classiques). Ils peuvent agir en régulant la production des lymphocytes B producteurs d’anticorps et cytokines pro-inflammatoires, cellules dendritiques (régulant la cascade de défense, les lymphocytes T regulateurs), interleukines 2 (puisque chez ces patients atteints de désordres auto immuns, injecter des IL 2 a stimulé sélectivement la population de lymphocytes T régulateurs impliquée dans la modération de la réponse immunitaire et a amélioré les symptômes)

 
Le reishi rouge (Ganoderma Lucidum) peut donc avoir deux effets opposés sur le même type de cellules :

  • -sur des cellules lymphocytaires normales ou peu actives, l’administration de l’extrait de ce champignon les active

  •  à l’inverse des cellules qui se trouvaient dans un état de surproduction et de suractivité ont été régulées et atténuées par la même administration d’extraits de Ganoderma. Le reishi a de plus une affinité particulière avec la sphère bronchique optimisant la régulation de l’inflammation, de la production excessive de mucus et de la bronchoconstriction

 

Le reishi contribue à la fois à renforcer le mécanisme de défense de l’organisme, mais en même temps à réduire la réponse immunitaire exagérée dans le cas d’une hyperactivité du système immunitaire.

Agir sans prendre le risque d’enclencher un déséquilibre par ailleurs implique logiquement d’agir sur plusieurs fronts de façon équilibrée et la plus naturelle possible en fuyant donc les vitamines et minéraux de synthèse, les énormes doses non physiologiques …, sans sur-stimuler l’immunité au vu des interrogations qui subsistent quant à la propension du virus à retarder la libération d’interféron. Des plantes sur- stimulantes (par exemple l’échinacée) et non pas adaptogènes pourraient aboutir à générer une déferlante (tempête) de cytokines amplifiant l’inflammation respiratoire.

 

Le reishi a cette intelligence que de s’adapter aux besoins « individuels » du système immunitaire : il peut à la fois tempérer les « surréactions » et à la fois stimuler selon le besoin.
Sous forme de totum tout en étant concentré en beta glucanes, son spectre total s’adaptera au terrain qu’il trouve et fonctionnera de concert avec un apport de Zinc naturel du complexe de sarrasin bio germé concentré ayant donc le potentiel d’être reconnu par les canaux cellulaires et d’entrer agir dans la cellule contre la réplication de l’ARN viral.

 

Ne pas négliger l’importance de la vitamine C si elle est naturelle 

donc non acidifiante et accompagnée de polyphénols et OPC « prolongeant sa vie et son action » dans l’organisme et régulant l’acidité du terrain. Nul besoin d’encombrer son organisme avec les additifs cachés (non étiquetés) dans les vitamines C liposomales, les OPC naturels associés à la vitamine C naturelle recyclent cette vitamine C qui reste ainsi active plus longtemps dans l’organisme.

Idem quant à l’importance du magnésium naturel complexé à ses transporteurs « acides aminés et silicium naturels »,  il permet plus de 300 réactions enzymatiques  dans l’organisme en plus de soutenir notre système nerveux. Il faut toujours tenir compte des cofacteurs qui permettent à ces nutriments d’agir véritablement en nous sans créer de déséquilibre (donc en plus du silicium il faudra des vitamines B naturelles pour accompagner le magnésium et le fixer dans la cellule où il agira).

Ceci complété par le renfort de la vitamine D3

(ne jamais prendre de vitamine D sans vitamine K2 et toujours en présence de phospholipides, magnésium et vitamine A …  ; car la vitamine D régule également le système angiotensine rénine (or la relation entre le virus SARS-cov-2 avec le récepteur ACE2 est mise en avant) et soutient l’immunité surtout vis-à-vis des risques d’infections  respiratoires. En effet la vitamine D3 agissant sur plusieurs axes : d’une part sur les jonctions serrées (l’oméga 3 DHA également, voir Omégalgue ), d’autre part en favorisant la production de défensines et cathélicidines qui tuent les virus enveloppés tel le Covid 19 (ces 2 protéines agissent en fait comme antibiotiques et aident le corps à combattre une variété d’infections, dont les infections respiratoires et la tuberculose) ; enfin la vitamine D agit en modulant la production de cytokines pro inflammatoires qui enveniment « façon tempête terminale » le processus de pneumonie.

Le Covid 19 sait apparemment particulièrement bien ne pas se faire détecter dans un premier temps par nos cellules de l’immunité ; mais une fois l’infection bien installée, elle finit tout de même par être détectée par les cellules immunitaires qui vont alors mobiliser subitement un gros pic d’interféron, avec des réactions immunitaires en chaîne. Si ce pic et la réaction immunitaires sont démesurés, la « tempête cytokinique » déferle, entrainant une sorte d’hyper-inflammation se traduisant par une détresse respiratoire ou une défaillance multiviscérale potentiellement mortelles.

Enfin la vitamine D3 impacte la régulation du système angiotensine-rénine puisqu’une carence en  25(OH) est associée à une activité accrue du système angiotensine ; or la relation entre le virus SARS-CoV-2 avec le récepteur ACE2 est mise en avant puisque la protéine sur l’enveloppe du virus a des affinités avec ACE2 (L’ACE2 fait partie du système rénine-angiotensine-aldostérone, qui gère la constriction des vaisseaux, la tension artérielle, l’élimination de l’eau et du sodium) ;l’ibuprofène augmente l’axe ACE2 … . Les récepteurs à l’ACE2 sont particulièrement présents au niveau du système respiratoire, du cœur, des vaisseaux sanguins, des reins et de l’intestin grêle (les hypertendus et les diabétiques sont donc en première ligne face au virus).

Le sélénium antioxydant a son rôle à jouer lui aussi pour gérer la tempête de cytokines « noyant » les poumons

C’est un nutriment sûr,  apte à influer sur l’inhibition de l’enzyme de conversion de l’angiotensine. Le mangoustan est plein d’antioxydants naturels ; une récente montre l’intérêt de l’extrait de péricarpe de mangoustan sur l’inhibition d’une cytokine (TNF-alpha) impliquée dans de nombreuses pathologies inflammatoires. Les médicaments inhibiteurs de TNF-alpha qui sont aujourd’hui disponibles pour lutter contre la maladie ont d’importants effets secondaires. L’extrait de mangoustan offre une alternative naturelle et bien plus douce aux patients.

 

Quant à la quercétine, les études ont été faites sur des souris ou des cultures cellulaires et aucune n’a été faite sur le coronavirus 19. Les doses utilisées sont de plus impossibles à atteindre par voie orale chez l’homme.

 

Le rôle de l’oméga-3 DHA d’algue et des phospholipides

Le précieux oméga 3 DHA joue un rôle intéressant face à toutes les infections susceptibles de déclencher une tempête cytokinique car il module l’activation immunitaire rendant son action plus précise ; cet acide gras oméga-3 à chaînes longues est préformé et très actif contrairement aux acides gras oméga-3 à chaîne courte comme l’ALA, acide alpha-linolénique (simple précurseur éventuel) des huiles végétales de type périlla, lin, chia, sacha inchi pourtant à la mode ….

Il va de plus travailler en faveur de la santé du myocarde que le virus fragilise …

L’oméga 3 DHA d’algue permettant la production des résolvines D et de maresines agit donc lui aussi clairement pour la santé de la sphère bronches-poumons sans avoir les inconvénients des anti inflammatoires chimiques de type AINS, ibuprofène, qui eux ont des conséquences catastrophiques en bloquant le processus salvateur naturel et indispensable de l’inflammation
modérée (tout comme pour la fièvre).

 

Si les membranes cellulaires sont suffisamment enrichies en oméga 3 DHA, l’organisme pourra naturellement « jongler » et moduler l’inflammation qui est essentielle pour détruire les indésirables et enclencher le processus de cicatrisation – réparation. Dans le cadre des infections, l’oméga-3 DHA d’algueest donc apte à calmer la libération excessive des cytokines notamment concernant les cellules pulmonaires de malades victimes de détresse respiratoire aiguë ; la supplémentation en oméga-3 chez les personnes hospitalisées pour une détresse respiratoire aiguë révèle des effets positifs d’autant plus nombreux que la supplémentation a duré longtemps (2 à 3 mois).

 
Les phospholipides complètent l’action du DHA

En études cliniques ils ont réduit de manière significative l’inflammation pulmonaire et donc les conséquences néfastes de l’infection.
Les virus respiratoires (SRASS, coranovirus, grippe) provoquent une inflammation de la paroi des alvéoles pulmonaires. Cela modifie le surfactant pulmonaire : le virus peut alors pénétrer tout en perturbant les échanges gazeux avec le sang. Les phospholipides ont un effet protecteur contre les virus pathogènes puisqu’ils contribuent à bloquer la liaison des particules virales aux récepteurs de la cellule hôte, nécessaire à l’absorption virale. Ils réduisent ainsi considérablement l’infection, en plus de contribuer à moduler l’inflammation.

Zoom sur le rôle protecteur du surfactant pulmonaire : La paroi des alvéoles pulmonaires est protégée par le surfactant : un matériau complexe tensioactif sécrété continuellement dans la lumière alvéolaire par les cellules des poumons. Il est constitué d’un grand nombre de molécules différentes : des lipides dont de l’oméga 3 DHA, des phospholipides et des protéines.

En plus d’une plus faible consommation d’acides gras oméga-6 dans l’alimentation quotidienne (huiles de tournesol, carthame, soja, sésame, maïs, soja ou pépins de raisins) et d’augmenter sa consommation d’oméga-3 (poissons gras les moins pollués possible ou idéalement d’huile d’algue concentrée en DHA si cultivée en eau depolluée), il est essentiel de cibler spécifiquement la recharge des cellules en Oméga 3 DHA seul (sans EPA dont l’association implique d’augmenter la quantité de DHA à consommer), en veillant à leur qualité (choisir une huile d’algue concentrée en DHA et cultivée en eau osmosée, avec étude de stabilité quant à leur qualité en terme de peroxydation dans la capsule, et accompagnée d’antioxydants lipophiles. (Voir Omegalgue) ; car les études sur les humains ont montré que la prise de capsules d’oméga 3 ETAIT CONTRE PRODUCTIVE avec effet négatif sur l’immunité lorsque les oméga-3 étaient oxydés (dans la capsule comme au cours de sa métabolisation dans l’organisme).

Cet oméga 3 DHA est d’autant plus important en période de confinement que la perturbation du rapport Oméga 3/6 en faveur des oméga 6 favorise la production de molécules (prostaglandines) pro-inflammatoires mais influe aussi sur le stress et le bien-être mental. Une diminution de l’acide DHA déstabilise en effetla production de prostaglandines créant une inflammation à l’origine du « syndrome d’irritation du cerveau » dont la maladie mentale, le stress et l’instabilité émotionnelle seraient l’expression ! De faibles taux de DHA ont été reliés à de faibles taux de sérotonine eux même en corrélation avec une augmentation des tendances à ladépression et à la violence.

 
Relancer les capacités d’autoguérison : le rôle de la fièvre !

Le conseil de gérer précocement la fièvre est dangereux, voire doublement dangereux puisqu’il est conseillé d’absorber du paracétamol, molécule supra toxique pour le foie (alors que le foie est un organe majeur de l’immunité). L’augmentation de la température corporelle est pourtant cruciale elle aussi pour détruire les intrus tels que les virus ; chez les bébés on contrôle son élévation via les bains d’eau a température adaptée (au à 2 degrés de moins que le chiffre de la température du corps) … Ce qu’il faut faire chez l’adulte également pour ne pas qu’elle s’envole jusqu’à 40,5 ; mais il faut la laisser agir !

Comme l’a démontré l’un des prix Nobel de 1965, le Pr André Lwoff dans le cadre de l’atteinte par le virus de la polio, laisser monter la température à 39°C peut tuer le virus grâce aux défenses immunitaires naturelles, tandis que le virus peut se développer lorsque l’on fait baisser la température précocement …

C’est pour cette raison qu’il ne faut prescrire ni anti- pyrétiques, ni ibuprofène ni paracétamol (doliprane) sauf à minima si « le bain » n’a pas été suffisant, pour éviter une montée à plus de 40,5°C.

On nous parle de dose de paracétamol à ne pas dépasser alors que si sa toxicité est évidente au bout d’un moment, sa toxicité sur la cellule du foie commence dès la métabolisation de la plus petite dose puisque le paracétamol empêche les cellules de prodiguer l’énergie au foie : c’est bio chimique !!! Dans l’organisme le paracétamol se convertit en un nouveau composant qui se lie aux protéines du foie via un acide aminé appelé Cystéine ; ce nouveau composant affecte le fonctionnement des cellules qui procurent l’énergie nécessaire au foie. Les chercheurs ont découvert un autre procédé d »affectation des protéines du foie par le paracétamol au point d’en être toxique pour l’organe : en isolant les résidus de cystéine, les chercheurs ont remarqué qu’elles produisaient du glutathion, un antioxydant qui se développe en réaction à un phénomène de toxicité du foie pour le protéger. Prendre du paracétamol entraînerait la multiplication de glutathion qui, en trop grand nombre, serait responsable du dysfonctionnement sur les protéines du foie en les empêchant de prodiguer l’énergie nécessaire à l’organe. Plus la dose de paracétamol, est élevée plus le développement du taux de glutathion augmente ….

La consommation de corticoïdes et d’anti-inflammatoires (Advil, Nurofène etc), elle est plus que déconseillée car il est bien connu depuis plus de 20 ans qu’ils favorisent les surinfections puisqu’en paralysant les globules blancs responsables des signes de l’inflammation, ils paralysent aussi la réponse immunitaire !!!

 

Pensez aussi à renforcez les barrières physiologiques que forment votre muqueuse intestinale et votre peau !

Peau et muqueuses séparent votre « moi intérieur» de l’extérieur et empêchent la pénétration des intrus.

Ces « barrières » intestinales, dermiques mais aussi pulmonaires sont déterminantes pour l’intégrité et le fonctionnement optimal de notre système immunitaire ; elles nécessitent en premier lieu de ne pas être malmenées (par surcharge pour la muqueuse digestive dont intestinale, par une alimentation pro-inflammatoire et oxydante par exemple conforté), de pouvoir se reconstruire rapidement si elles sont endommagées afin d’éviter les brèches au niveau de la peau (ingrédients décapants et carences alimentaires en acides gras et céramides, voir Régépô) et de l’intestins, et donc le phénomène d’hyperperméabilité pour l’intestin.

La muqueuse intestinale doit donc concrètement rester perméable à l’entrée des nutriments (vitamines, minéraux, acides aminés, acides gras…eau …) et empêcher la pénétration d’agents indésirables.

Si l’intégrité du tube digestif est assurée, cela va réduire le risque de passage du virus (qui n’aurait pas été détruit après son passage dans l’œsophage et l’estomac vu la fréquence de l’achlorydrie aujourd’hui) au travers de la muqueuse intestinale jusqu’aux voies respiratoires.

 

La gestion du problème de perméabilité de la muqueuse intestinale passe par l’apport de nutriments essentiels

aux jonctions serrées (Omega 3 DHA), à la régénération de la muqueuse autant qu’ à la gestion de l’inflammation in situ (destructrice d’immunité et de santé cognitive et nerveuse) et à l’optimisation de la « bonne flore », du péristaltisme, des neurones intestinales et du nerf vague : penser à l’apport complémentaire de glutamine (toujours l’accompagner d’acide hydroxycitrique afin que la glutamine ne soit utilisée que par les cellules de l’intestin et non pas par des cellules « malignes »), également aux Vitamines B, dont vitamine B9 en plus du zinc qui contribuent au fonctionnement normal du système immunitaire et au métabolisme de la vitamine A .

Une récente étude de mars 2020 menée par de chercheurs du CNRS de l’INSERM en collaboration avec l’institut Pasteur de Lille et l’INRAE a révélé, pour la première fois chez la souris, que les perturbations du microbiote intestinal – engendrées par le virus de la grippe – favorisaient les surinfections bactériennes secondaires de type pneumonies bactériennes, aggravant donc considérablement le tableau clinique des personnes grippées et étant une cause majeure de décès chez les personnes vulnérables infectées. Il est en effet apparu que le virus de la grippe modifiait de façon transitoire la composition et l’activité métabolique du microbiote intestinal, vraisemblablement à cause de la consommation réduite de fibres alimentaires durant la maladie. Ces dernières sont le substrat à partir duquel le microbiote intestinal élabore les acides gras à chaînes courtes (tel le butyrate) qui jouent un rôle essentiel sur le plan de l’immunité, en favorisant à distance l’activité bactéricide des macrophages présents dans les poumons.

Les polyphénols vont eux aussi jouer un rôle crucial sur la qualité de la flore intestinale donc sur l’immunité (polyphénols d’artichaut,  polyphénols de raisin, myrtilles, agrumes).

Les oméga 3 permettent bien sûr de contrôler positivement l’inflammation et de prendre soin du microbiote intestinal, à l’inverse des oméga 6. Ils jouent ainsi également un rôle positif sur l’immunité.

 

 

Le temps du nettoyage en profondeur

Le confinement nous permet d’en profiter pour être plus attentif à son « intérieur » et d’y faire un grand ménage ; il ne s’agit pas simplement d’un nettoyage de printemps ou de décontamination de nos appartements mais bien de mettre en place et en application un nouveau mode de fonctionnement.

 

Prévenir !

Agir en amont via une nouvelle hygiène de vie au sens large est aujourd’hui clairement ; « prévenir » les pandémies, la faiblesse des systèmes immunitaires en optimisant sa santé et celle de la planète chaque jour ; de rester conscients, éveillés et actifs pour pas être « patients ».

Revenir aux besoins fondamentaux, bio-logiques de l ‘être humain en prenant en compte toutes ses dimensions. Les symptômes majeurs révélés par ce virus sont à « entendre » : nous étouffons (air vicié pollué et irrespirable mais pollué aussi de pensées éloignées de la logique de vie) ; le cœur est touché également (myocardite probable comorbidité) … il n’est pas « nourri  » comme il le devrait et sur tous les plans.

L ‘épisode « pandémie » se renouvellera, Covid ou autres agents infectieux n’en ont pas fini de surgir ou resurgir. Même la fonte des glaciers en libère … ; nos organismes pollués et carencés, en inflammation chronique produisent également des molécules « détonantes » ; la seule réaction valable à adopter est de changer nos « habitudes » puisqu’ elles nous ont menées jusqu’à cette situation.

 

Il est grand temps de se réveiller et de revoir réellement les priorités, les vraies priorités, dont morales.

 

 


Références scientifiques :

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