Le système Immunitaire a pour rôle essentiel d’assurer une relation équilibrée entre l’extérieur et l’intérieur de notre organisme, de défendre et protéger nos cellules ; avoir conscience de la subtilité de son fonctionnement en tant que garant de l’équilibre est essentiel pour notre santé.
L’aspect physiologique
L’immunité peut être à juste titre analysée de son point de vue purement cellulaire ; elle est assurée par exemple par un bon système digestif donc un intestin en bon état, absorbant les nutriments essentiels que l’alimentation devrait pouvoir apporter par un bon système lymphatique au sein duquel le thymus a un rôle essentiel notamment pour les cellules de l’immunité dont font partie nos lymphocytes (y compris les lymphocytes T issus du Thymus).
Mais l’immunité est aussi affaire d’émotions
Et nos émotions affectent le thymus, associé dans d’autres cultures au chakra du cœur, qui régule aussi la circulation de l’énergie vitale et représente la lien entre le corps et l’esprit.
Il n’y a pas de séparation entre le corps et l’esprit, alors décloisonnons notre façon d’appréhender le fonctionnement de notre corps… en gardant à l’esprit que nos pensées ont un effet direct sur nos organes et l’état général de notre organisme.
Il est donc primordial de considérer notre système immunitaire d’une façon plus globale et de se demander « ce que nous protégeons avec nos systèmes immunitaires ».
Nous sommes en effet plus qu’une simple collection de cellules, de tissus et d’organes et cherchons certes à défendre « la vie » en nous, mais également à défendre notre « identité », notre motivation profonde en tant que personne individuelle !
Y renoncer serait la porte ouverte à l’installation de dérèglements auto-immuns
Le système immunitaire est donc là pour protéger l’intégrité de nos corps physiques afin que nous puissions avoir la force et l’endurance de devenir les personnes créatives et individualisées que nous sommes destinées à être, ne le perdons pas de vue !
Ainsi, chaque fois que nous autorisons quelqu’un à envahir nos frontières et que nous dérogeons à notre propre façon de penser, alors notre capacité à protéger « notre limite » est affaiblie.
Nos émotions se répercutent directement sur le fonctionnement de nos cellules ; plus nous sommes stressés, mal dans notre peau et inquiets, plus notre immunité s’affaiblit. En effet la vasoconstriction consécutive au stress prive nos cellules d’oxygène et de nutriments essentiels… ; impossible alors pour nos organes et tissus de se régénérer et de se reconstruire quotidiennement, impossible pour notre système immunitaire d’avoir des « forces » pour se défendre.
Il est donc important de rester « conscient de ce qui peut affaiblir notre immunité » et attentif à notre « positivité » ainsi qu’à notre calme intérieur pour aider notre système immunitaire à être vaillant, pour protéger autant notre corps physique que notre corps émotionnel…
Pour soutenir notre énergie positive on pourra avantageusement s’aider de ce que l’on appelle les plantes adaptogènes, qui comme leur nom l’indique « s’adaptent « aux besoins soit de stimulation, soit d’apaisement de notre corps et peuvent donc renforcer l’équilibre neuroendocrinien si important pour un système immunitaire sain ; c’est typiquement l’action du Reishi ou Ganoderma Lucidum de son nom « savant », champignon médicinal Asiatique très prisé en médecine traditionnelle Chinoise et désormais en occident où il est très étudié en protocoles cliniques…
Ne pas négliger pour autant le lien « bons nutriments » et immunité
… puisqu’il est en effet attesté depuis longtemps que les carences physiologiques en nutriments essentiels sont corrélées aux maladies infectieuses. Ainsi on s’aidera également des nutriments clé pour nos cellules grâce aux « super aliments » les concentrant : les graines germées en font partie, surtout si elles privilégient l’apport en Zinc.
Le zinc est réputé essentiel au système immunitaire : il semble impliqué dans la structure active de la thymuline, une hormone qui stimule la prolifération et la maturation des lymphocytes, il permettrait de plus d’inhiber des enzymes responsables de la mort programmée des cellules de défenses, favorisant par exemple l’accumulation des lymphocytes… il intervient de plus dans la cicatrisation, il est nécessaire à la synthèse de l’ADN … et sa carence impacterait l’atrophie du thymus.
La boucle est bouclée… l’interdépendance de nos corps est évidente, reste à en tenir vraiment compte…
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