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Se protéger des ondes nocives et des radiations grâce à la Nutrimentation

En gardant à l’esprit notre physio-logique dans son ensemble, on comprend bien à quel point la Nutrimentation est cruciale pour la protection de nos cellules contre ces ondes néfastes !


La Nutrimentation a en effet un grand rôle à jouer pour nous protéger des radiations et ondes via – en premier lieu   la logique de
« terrain sain et saturation positive ».

Le terrain

Il faut en effet avant tout veiller à maintenir un PH neutre ou légèrement alcalin dans l’organisme afin de favoriser la résistance aux RADIATIONS. Cela évitera à l’organisme de puiser dans ses réserves de minéraux « protecteurs » (calcium, magnésium…) pour avoir à maintenir son PH qui souvent, est trop acide.

Il faut donc pour cela penser à manger des plantes crues – dont graines germées – chaque jour. Les aliments contenant de la chlorophylle (donc les végétaux) sont connus depuis longtemps comme ayant un effet protecteur contre les radiations. Veillez aussi à éliminer le sucre, diminuer ou supprimer la consommation de viande et charcuterie, à s’oxygéner et à penser « positif » ! Éventuellement et ponctuellement, on pourra prendre du bicarbonate de soude alimentaire pour que le PH revienne plus vite à la normale, surtout s’il existe des problèmes de remontées gastriques acides.

La saturation positive

Cela consiste à saturer le corps en minéraux utiles afin qu’il n’absorbe pas (ou beaucoup moins) les minéraux radioactifs nocifs de l’air ou des aliments.

En effet, il est « physio-logique » de garder en conscience que si nous avons suffisamment « saturé notre organisme » de calcium ou d’iode naturels, alors celui-ci ne va pas « avoir la place » d’absorber les nocifs  strontium-90 (qui est relativement similaire au calcium) ou iode-131 entre autres.

On comprendra bien évidement l’importance d’absorber des recharges en nutriments sains provenant de suppléments vraiment naturels et non accompagnés de vitamines de synthèse et d’additifs douteux comme trop souvent. En effet, bon nombre sont cachés, par exemple dans les compléments sous forme de liposomes, vous avez des additifs type polysorbate 80 et PEG de synthèse pour que la molécule liposomale (lécithine bas de gamme + nutriment de synthèse) « tienne assemblée». Mais comme l’additif fait partie du processus intrinsèque de fabrication du liposome, il n’apparait pas sur l’étiquette des ingrédients listés !

Les minéraux et oligoéléments qui apportent une protection par ce biais de saturation positive sont :

  • Le Calciumen équilibre avec le Magnésium, qui empêchera alors que les strontium-90, strontium-58, baryum-140 et radium radioactifs se logent dans les os.
  • Le Potassium, qui empêchera alors césium 137 et 134 et potassium 42 de se loger dans les organes reproducteurs, les muscles, les reins, le foie.
  • L’Iode naturel, en forte dose si incident nucléaire, le but étant de saturer la thyroïde en iode non radioactif afin d’empêcher l’iode -131 radioactif de s’y déposer
  • Le Fer qui empêchera alors le plutonium-238 et -239, le fer-238 et -239 de se loger au niveau des poumons, du foie et gonades. Attention tout de même car le fer est pro oxydant et peut donc faire des dégâts lorsque ingéré en supplémentation (bombe oxydative).
  • Le Zinc qui protège du zinc-65 radioactif donc au niveau des os et gonades.
  • La Vitamine B12 qui empêchera alors le cobalt-60 de se fixer sur le foie et sur les organes reproducteurs.
  • Le Soufre qui empêchera alors le souffre-135 radioactif de faire des dégâts au niveau la peau.

La stratégie naturelle de protection pour avoir une meilleure radioprotection se poursuivra ensuite en second lieu par

l’alimentation chélatrice

Cela consiste en l’utilisation des aliments attirant naturellement les éléments radioactifs, les « captant » puis les éliminant des tissus, les évacuant de l’organisme par les voies naturelles : les émonctoires tels que reins et surtout intestins.


Parmi les aliments et nutriments chélateurs on peut ainsi cibler :

  • Les alginates naturellement présent dans les algues (kelp, wakame, kombu, varech). Leur consommation est à doubler en période d’exposition radioactive aigüe ; les algues brunes chélates plus spécifiquement le strontium et le fer, les algues rouges plutôt le plutonium, et les algues vertes le césium.
  • L’iode des algues (kelp, dulse, wakamé, fucus), des fruits de mer, coquillages et huitres ; de même que dans de moindre mesure l’iode de la feuille d’ortie, la blette, les feuilles de navet, l’ail des ours, l’oignon, le cresson, les courges, l’épinard, l’asperge, le chou frisé, les agrumes, la pastèque et l’ananas.
  • Les fibres naturelles dont la pectine : pommes, céréales complètes, graines de tournesol et de citrouille, noix, légumineuses
  • Le potassium des légumes, en équilibre avec le calcium et le magnésium pour protéger les muscles, les reins, le foie et les organes reproducteurs du césium 137.
  • Les betteraves rouges connues pour détoxiquer le sang, protéger le système nerveux et aider à guérir l’anémie par leur richesse en fer (elles protègent donc de l’absorption du plutonium-238 et -239, du fer-55 et du fer-59).
  • Les acides aminés soufrés des choux, feuilles de navets, radis, roquette.
  • La lécithine qui contribue à protéger le système nerveux et le cerveau des radiations, protège efficacement contre le strontium-90, les rayons X, l’iode-131, le krypton-85, le ruthénium-106, le zinc-65, le baryum-140, le potassium-42 et le césium-137.
  • Le sélénium et toutes les vitamines du groupe B, y compris la B12 protègent des effets secondaires des radiations.
  • L’ail est aussi un aliment anti-radiations spécifique grâce à sa cystéine et son soufre organique (ainsi que via une substance non-identifiée appelée vitamine X). Toutes les brassicacées et l’ail empêchent l’absorption de soufre-135 radioactif.
  • La cystéine est un anti-oxydant qui aide à empêcher la production de radicaux libres ; elle se lie au cobalt-60 et le désactive. Elle protège aussi des rayons X et induit la synthèse du glutathion, protecteur « suprême » (mais inactivé si consommé en direct) en prise avec le sélénium et la vitamine C.
  • L’argile verte seulement si prise loin de toute autre supplémentation, (minimum 3 h)

Il faut évidemment que tous ces aliments/nutriments protecteurs ne soient pas eux mêmes contaminés. Laver et peler les produits à l’eau oxygénée élimine 80% des retombées radioactives directes mais bien des nutriments sont sous la peau des fruits et légumes donc on les perd…

Maintenir un bon niveau d’anti-oxydants et enzymes dans le corps

Qu’il s’agisse de fuites radioactives ou qu’il s’agisse de l’exposition quotidienne aux ondes électromagnétiques du réseau téléphonique, du déploiement des antennes 5G … de l’exposition continuelle au wifi …, en fait les effets dommageables découlent dans tous les cas  majoritairement  de l’activation de radicaux libres oxydants et destructeurs !

Il est vraiment crucial d’avoir un bel apport d’antioxydants afin de compenser l’action néfaste des « radicaux libres » générés par l’exposition aux ondes nocives et plus encore à la radioactivité.

Les ondes et radiations ionisantes provoquent donc des dommages oxydatifs et des radicaux libres qui altèrent les composants cellulaires (protéines, lipides et ADN) engendrant des changements ayant des conséquences graves dans la fonction cellulaire. Puisque des mutations peuvent entrainer des divisions anarchiques pouvant mener à un cancer, à la destruction cellulaire ou engendrer d’autres anomalies chromosomiques qui peuvent être transmises aux générations suivantes, il est essentiel de lutter contre cet excès de production et d’activation des radicaux libres générant stress oxydatif chronique et inflammation sur le long terme.

Pensez donc LÉGUMES encore et encore ! Verts, rouges, violets donc « pigmentés », pleins d’anthocyanes salvateurs ! La betterave, comme on a vu, salades et verdures crues et « chlorophyllées », les jeunes pousses, mais aussi les fruits rouges dont les myrtilles, la pomme et le raisin mais impérativement bio surtout pour ces deux derniers !  

Le renfort des compléments alimentaires apportant ces précieux antioxydants de fruits et légumes que l’on ne retrouve plus suffisamment dans les végétaux sur les étals est aujourd’hui indispensable (et le sera de plus en plus) :

Extrait de mangoustan, OPC de raisin et de pin, concentré de vitamine C naturelle, cystéine, Co enzyme Q10, ail noir mais sans oublier la Bromélaine pour éliminer les cellules mutées et les déchets protéiques encrassants, … et le desmodium pour soutenir le foie. 

Enfin, ne pas oublier le reishi !

Protection et réparation de l’ADN : Rôle du champignon Reishi

Le Reishi (Ganoderma Lucidum) pourrait être extrêmement utile dans la prévention des dommages oxydatifs induits par les radiations grâce à ses propriétés antioxydantes et sa capacité de réparation de l’ADN. Le champignon Reishi augmente l’activité antioxydante totale du plasma. Ses polysaccharides peuvent augmenter l’activité des enzymes antioxydantes permettant de lutter efficacement contre le stress oxydatif causé par les radicaux libres. Ses bêta-glucane pourraient elles aussi être très efficaces pour prévenir les dommages cellulaires provoqués par les radiations.

Au quotidien, faire « bouclier »

Que ce soit par exposition aux ondes nocives, aux radiations suite à des « fuites nucléaires » ou par exposition à la radiothérapie des cancers, vous pouvez donc, via des outils naturels bien choisis protéger vos tissus et votre ADN « sain » contre les dommages causés par les radiations et ondes nocives.

Ces mêmes « outils naturels » sont TOUT AUSSI UTILES à votre santé face à l’importance de votre exposition quotidienne aux toxiques (pollution, pesticides, rayons UV, métaux lourds, additifs et conservateurs dans les aliments et dans un trop grand nombre de compléments alimentaires etc.) : vos cellules subissent bel et bien des perturbations non-stop et ont besoin de soutien supplémentaire : antioxydants, oligo-éléments naturels et plantes adaptogènes ; restez en conscients !


Références scientifiques :

  • Se protéger des dangers des émissions radioactives grâce à l’alimentation, Illaramendi
  • Diet for the atomic age, Sara Shannon
  • Gastrointestinal research laboratory McGill University Canada composition and properties of alginates, report n° 30
  • www.criirad.org/actualites/dossiers 2011japon/sommaire.html
  • Kan et al. Antioxidant activity of polysaccharide extracted from Ganoderma lucidum using response surface methodology. Int J Biol Macromol. 2015
  • Pillai et al. Enhancement of repair of radiation induced DNA strand breaks in human cells by Ganoderma mushroom polysaccharides. Food Chemistry. 2010.
  • Pillai et al. Fungal beta glucan protects radiation induced DNA damage in human lymphocytes. Ann Transl Med. 2014

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