L’intérêt du Magnésium de la Mer Morte, véritable mer intérieure, concentré de pureté et d’énergies ancestrales inégalées.
La Mer Morte est sans doute un des lieux les plus étonnants du monde. C’est en fait un lac salé, aussi appelé « lac Asphaltite », d’une surface approximative de 810 km2, d’une forme irrégulièrement rectangulaire. Ses eaux se trouvent à un niveau de 392 mètres au-dessous de la Méditerranée, et la profondeur de ses eaux, de 25, 35 et 45 mètres sur la côte occidentale, augmente rapidement à partir de 2 kilomètres au large pour atteindre environ 365 mètres au point le plus déprimé de la concavité. Sur le littoral de l’Est, l’épaisseur de la couche d’eau est de 240 à 260 mètres. Des sources d’eau douce l’alimentant ont été découvertes en 2011. Son climat et son écosystème sont uniques : l’air y est plus riche en oxygène de 15%. L’air y est sec et sans pollen, ses 400 mètres d’atmosphère supplémentaire filtrent les rayons U.V. nocifs.
Les eaux de la Mer Morte s’évaporent doucement et laissent apparaitre un cocktail de sels minéraux et d’oligo-éléments chargés d’énergies particulièrement régénérantes.
Alors que la salinité moyenne de l’eau de mer oscille entre 2 et 4%, celle de la Mer Morte est aux alentours de 27%, et la composition en sels minéraux de la Mer Morte est très différentes de l’eau de mer ou des océans : à l’abri des pollutions, elle collecte et concentre les minéraux et oligoéléments dans son bassin naturel d’évaporation depuis des dizaines de milliers d’années ; les eaux de la Mer Morte contiennent donc 21 minéraux dont le magnésium, chargé de cette énergie amplifiée par son mode de récolte (à nouveau un séchage au soleil ; puis des contrôles de pureté).
Comment est extrait le magnésium des sels de la mer morte ?
L’oxyde de magnésium marin est un pur extrait d’eau de mer résultant d’un processus très long et naturel. Tout commence dans les eaux pures et qui produisent le sel à l’écart de la pollution depuis toujours. L’exposition de l’eau de mer au soleil ainsi que la température extérieure vont entraîner une évaporation de l’eau de surface. Les cristaux vont subir différentes phases de purification au soleil et une standardisation en oxyde de Magnésium titrée à 60% de Magnésium élément est effectuée (et non pas en chlorure de Magnésium car celui-ci contient, comme son nom l’indique, des ions chlorure, qui vont augmenter l’acidité).
En matière de Magnésium également il vaut mieux choisir le sel de Magnésium le plus naturel possible.
Aujourd’hui chaque « laboratoire » propose « son » sel de magnésium, pure construction d’éléments chimiques « inertes » ; il faut bien garder à l’esprit que si l’organisme (la cellule) prend l’atome de magnésium (Mg, l’élément Magnésium) pour sa recharge, il laisse en revanche son « support » dans l’organisme qui devra tenter de l’éliminer… ou à défaut l’enkystera.
Les sels de Mg de type glycérophosphate, bisglycinate, etc, sont issus de synthèse dont on sait que le véhicule du sel de Mg va être relargué dans la lymphe une fois le Mg élément absorbé ; ces véhicules vont donc encombrer le milieu puis la lymphe qui devra les gérer.
Le phosphate de ce sel de magnésium vient s’ajouter au phosphore alimentaire et aux additifs à phosphate. En excès, le phosphate est soupçonné de favoriser certaines maladies métaboliques, notamment lorsque la fonction rénale n’est pas optimale. A manier avec précaution donc, surtout en cas de troubles rénaux ou si l’on consomme beaucoup d’aliments préparés.
Loin du magnésium « marin » ordinaire…
« L’oxyde de magnésium » (bien différente du chlorure de magnésium marin) aura tendance à basifier, alcaliniser ; cela tombe bien de nos jours, l’organisme ayant tendance a être tellement acidifié : le plasma et le liquide interstitiel dans lequel les cellules baignent sont majoritairement en acidose.
Le sels de magnésium oxyde ou carbonate étant de nature alcaline, ils neutralisent donc l’acidité des tissus et participent ainsi à l’équilibre acido-basique, ce qui permet en particulier la fixation sur les os des oligo-éléments tels que le calcium et le potassium. Le Magnésium joue ainsi un rôle important dans la croissance : formation des os et des dents.
Pour que tous les intestins le supportent.
L’idéal est alors que ce magnésium « vibrant » soit associé en complexe avec des acides aminés naturels. Ainsi amino-complexé naturellement (donc sans additif technologique de liaison) aux acides aminés d’un riz de qualité qui joueront le rôle de transporteurs dans l’intestin, la parfaite tolérance digestive du magnésium naturel est validée au quotidien par les organismes les plus fragiles ne supportant par le magnésium marin classique ; le complexe acides aminés-magnésium sera en quelque sorte traité comme une protéine par l’intestin et non pas comme un sel de magnésium…
Reste un problème majeur :
Celui des cofacteurs indispensables à l’assimilation du magnésium par les cellules elles-mêmes ; le but étant en effet une recharge efficace des cellules ! Or lors de l’apport du magnésium, sans présence de silicium et de vitamines B (spécifiquement de B6 mais celle-ci ne sera active que si les autres B sont en sa compagnie !) point d’assimilation efficace du précieux Magnésium ; les cellules crieront toujours « famine » (lire l’article « Les indispensables à l’absorption du Magnésium »).
La solution Magnésium
Réunir pureté, naturalité & efficacité
1- Un oxyde de magnésium originel et vibrant de l’énergie du vivant
2- Des acides aminés naturels Transporteurs, vecteurs du précieux nutriment dont on vide la recharge cellulaire
3- Une efficacité et une tolérance optimisées de l’absorption intestinale du complexe magnésium-acides aminés
4- Apport des indispensables cofacteurs de métabolisation et fixation cellulaire du Magnésium : silicium & vitamine B6
5- Origine naturelle du silicium (du type ortie bio) & du multi vitamines B activant la vitamine B6 du complexe (du type sarrasin bio)
Références scientifiques
- La solution magnésium, Trouble du comportement et de l’humeur, du Dr Marianne Mousain-Bosc aux éditions Thierry Souccar
- The action of excessive inorganic Silicon on the mineral metabolism of calcium and Magnesium.J.Najda, in biological Trace Element Research, vol 37. 1993
- Influence of silicon on cobalt, zinc and magnesium in baker’s yeast. H Brasser, Saccharonyces cervisiae, biol Trace Element Research, vol. 112 n°2)
- Effect of germanium and silicon on bone mineralisation.C.Seaborne, Biol Trace Elements Research, vol 42, 1994
- Silanes on magnesium chloride studies by solid-state Si-NMR spectroscopy.N.Clayden, Journal of Polymer Science Science part A : Polymer Chemestry, vol.31, 1993
- Silicic acid : its gastrointestinal uptake and urinary excretion in man and effects on aluminium excretion. Reffi, J.inorg.Biochem, 1990
- A case of hypomagnesaemia due to malabsorption, unresponsive to oral administration of magnesium glycerophosphate, but responsive to oral magnesium oxide supplementation Gut. 2001 Jun;48(6):857-8. j ross, p dargan, a jones, and a kostrzewski
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